Test: un nouvel article pour les plats pays
Quand Sabine fait cette découverte sur l’un des chantiers de la Villa Adriana à Tivoli, on est l’an 136. Elle a cinquante ans et six années sont passées depuis la mort d’Antinoüs, le garçon mentionné dans l’extrait. Dès les premières pages, nous sommes informés de l’état nerveux de l’impératrice, de la mauvaise relation entre les époux et de l’existence de lourds secrets. Quelques quatre cents pages après, le lecteur connaîtra le comment et le pourquoi et aura une idée de la vie dans les hautes sphères de la Rome antique.
En 2017, soixante-six ans après la parution de Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar, la professeure de langues classique Nynke Smits a publié en néerlandais Sabina, vrouw van Hadrianus (Sabine, épouse d’Hadrien). Ce premier roman, bien accueilli aux Pays-Bas et en Flandres, a été récemment traduit en français. Comme à son habitude le traducteur Daniel Cunin, a signé une traduction fluide, aussi accessible et agréable à lire que l’original. Le titre de cette traduction française est Mémoires de Sabine, épouse d’Hadrien. Il s’agit, en effet, comme dans le cas du chef-d’œuvre de Yourcenar, de mémoires fictives.
Une histoire ancienne
Contrairement à Yourcenar qui était convaincue que la valeur humaine du roman historique soit « singulièrement augmentée par la fidélité aux faits» et mentionna scrupuleusement ses sources historiques, Nynke Smits s’est passé de toute note justificative. Elle a opté pour un roman proche du thriller dans lequel chaque élément tombe inévitablement à sa place. Tout à fait dans l’air de notre temps, l’auteure a eu recours à la dramatisation des éléments empruntés à la réalité historique qu’elle a augmenté du fruit de son imagination, composés autour d’une forte intrigue à l’aide d’une narration ponctuée de nombreux flash-back. Avec le résultat, on est décidément très éloigné de la biographie romancée de Yourcenar sur laquelle plane une permanente incertitude « qui, avant d’être celle de l’histoire, a sans doute été celle de la vie elle-même. »
Le plaisir qu’a eu Smits à partager ses connaissances de la culture romaine avec ses futurs lecteurs est palpable. Elle nous donne une idée de la Pax Romana, une période de stabilité, de tolérance et de prospérité dont des grandes parties de l’Europe, de l’Asie mineure et de l’Afrique du Nord bénéficiaient. Il y avait peu de guerres et l‘architecture et les beaux-arts florissaient.
Le plaisir qu’a eu Smits à partager ses connaissances de la culture romaine avec ses futurs lecteurs est palpable. Elle nous donne une idée de la Pax Romana, une période de stabilité, de tolérance et de prospérité dont des grandes parties de l’Europe, de l’Asie mineure et de l’Afrique du Nord bénéficiaient. Il y avait peu de guerres et l‘architecture et les beaux-arts florissaient.
Un nouvel intertitre
En 2017, soixante-six ans après la parution de Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar, la professeure de langues classique Nynke Smits a publié en néerlandais Sabina, vrouw van Hadrianus (Sabine, épouse d’Hadrien). Ce premier roman, bien accueilli aux Pays-Bas et en Flandres, a été récemment traduit en français. Comme à son habitude le traducteur Daniel Cunin, a signé une traduction fluide, aussi accessible et agréable à lire que l’original. Le titre de cette traduction française est Mémoires de Sabine, épouse d’Hadrien. Il s’agit, en effet, comme dans le cas du chef-d’œuvre de Yourcenar, de mémoires fictives.
En 2017, soixante-six ans après la parution de Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar, la professeure de langues classique Nynke Smits a publié en néerlandais Sabina, vrouw van Hadrianus (Sabine, épouse d’Hadrien). Ce premier roman, bien accueilli aux Pays-Bas et en Flandres, a été récemment traduit en français. Comme à son habitude le traducteur Daniel Cunin, a signé une traduction fluide, aussi accessible et agréable à lire que l’original. Le titre de cette traduction française est Mémoires de Sabine, épouse d’Hadrien. Il s’agit, en effet, comme dans le cas du chef-d’œuvre de Yourcenar, de mémoires fictives.
Comme à son habitude le traducteur Daniel Cunin, a signé une traduction fluide, aussi accessible et agréable à lire que l’original.
En 2017, soixante-six ans après la parution de Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar, la professeure de langues classique Nynke Smits a publié en néerlandais Sabina, vrouw van Hadrianus (Sabine, épouse d’Hadrien). Ce premier roman, bien accueilli aux Pays-Bas et en Flandres, a été récemment traduit en français. Comme à son habitude le traducteur Daniel Cunin, a signé une traduction fluide, aussi accessible et agréable à lire que l’original. Le titre de cette traduction française est Mémoires de Sabine, épouse d’Hadrien. Il s’agit, en effet, comme dans le cas du chef-d’œuvre de Yourcenar, de mémoires fictives.
En 2017, soixante-six ans après la parution de Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar, la professeure de langues classique Nynke Smits a publié en néerlandais Sabina, vrouw van Hadrianus (Sabine, épouse d’Hadrien). Ce premier roman, bien accueilli aux Pays-Bas et en Flandres, a été récemment traduit en français. Comme à son habitude le traducteur Daniel Cunin, a signé une traduction fluide, aussi accessible et agréable à lire que l’original. Le titre de cette traduction française est Mémoires de Sabine, épouse d’Hadrien. Il s’agit, en effet, comme dans le cas du chef-d’œuvre de Yourcenar, de mémoires fictives.
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